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Signez notre livre d’or !

vendredi 28 juin 2013, par Daniel Déchelotte, Hendy Abdoul-Déchelotte, Nicolas Prévost

Vous pouvez déposer un mot dans le livre d’or de l’association Frontenac-Amériques ! Au plaisir de vous lire bientôt !

(mesure anti-robot)


  • De : Martine Bousquet <bousquetm@orange.fr>, à Paris (France), le : 27/11/2023

    Bravo pour votre site, intéressant et très bien fait.
    Nous allons en informer les spectateurs de la pièce "Les Conquérants" le vendredi 24 novembre à Sèvres.
    Bonne continuation !

  • De : Sylvie Provost <provostsylvie@videotron.ca>, à Saint-Jean-sur-Richelieu (Québec ), le : 07/05/2023

    Je viens de découvrir votre site internet. Bravo ! Est-ce qu’on peut devenir membre ? Je vais le mettre dans mes favoris et prendre le temps de l’explorer bientôt. Un gros merci !

  • De : Lesley Provost <lesleyprovost@gmail.com>, à Lillooet (Canada), le : 24/11/2022

    Bonjour !

  • De : François Brault <fobroco.info@gmail.com>, à Montréal (Québec), le : 24/06/2022

    Bonjour,

    C’est par le plus grand des hasards, alors que je recherchais par ce jour de la fête nationale du Québec un drapeau, étendard ou symbole identitaire commun et unifiant pour toute la francophonie nord-américaine, que je tombe sur ce site et apprend l’existence de cette association. WOW ! Bravo ! Enfin ! Je me demande cependant comment vous percevez votre mandat au-delà pourtant de la déjà très pertinente diffusion de notre histoire. J’ai donc parcouru brièvement votre site et empressé d’y glisser ces quelques lignes que, je l’espère, vous trouverai pertinentes.
    Dois-je l’avouer, je suis sûrement un de ces rêveurs Québécois difficilement consolable et humilié de nos échecs référendaires. Mais tout Québécois que je suis, si attaché à la terre et à la société où j’ai pris racines, mon identité profonde est surtout indissociable de la langue de ma mère, de sa voix désormais éteinte qui me chantonnait quelques vieilles chansons ou berceuses françaises pour m’endormir. De la langue avec laquelle mon père me relatait les exploits de Champlain, Iberville, Lasalle et les autres qui ayant arpenté l’Amérique et qui s’étaient liés d’une amitié réelle et indélébile avec les ``Indiens’’ comme il était alors convenu de les appeler. Le Cap blanc, Vancouver, la Nouvelle Orléans, Fort Détroit, Fort Ducaime , St-Louis, etc. que de souvenir évocateur. J’éprouve bien peut-être un malséant brin de nostalgie mais loin de moi le moindre rêve correction historique. Mais cela contribue sans doute une profonde prise de conscience. Mon pays c’est bien plus qu’un territoire, c’est d’abords une langue et une histoire et c’est à les oublier ou en les occultant que le pays se meure.
    J’arrive cependant à interpréter les défaites référendaires comme la résultante de la lecture historico-politique d’un peuple marqué par son histoire singulière. L’histoire d’une Nation qui a constamment subi la volonté et les gestes des empires, monarques, envahisseurs, collaborateurs et gouvernements dont elle n’a jamais eu le contrôle. Un peuple politiquement dominé par des politiciens étrangers ou asservi aux dictats d’un autre peuple, si bon voisin qu’il ait pu être, et même si parfois animé par les plus nobles principes démocratiques. Des politiciens au laïus semblant parfois conciliant mais tellement étrangers et insensibles aux besoins et aspirations de ce peuple. Des politiciens parfois issus de nos rangs mais faisant preuves d’insouciances, de complaisance, de manque de courage ou d’une désinvolture qui conduit inexorablement à une folklorisation gentille, une assimilation lente mais définitive, et une entrée calme et paisible dans les rangs anglophiles, de la défiante, perturbante, arrogante et persistante nation francophone d’Amérique.
    Avant de fermer cette parenthèse ou ce préambule je dois souligner que ces étrangers n’ont sûrement pas apporté seulement que calamités et désolations et, comme tout bon descendant de gaulois que nous sommes nous devons rendre à César ce qui lui revient. Enfin nous devons aussi autant rendre hommage au formidable libellé de la Constitution américaine, à son extraordinaire civilisation, qu’à Rousseau et aux discours de Louis Joseph Papineau tout en se remémorant que le modernisme et l’évolution politique n’est pas l’apanage exclusif des peuples dominants. Il n’en demeure pas moins que le petit peuple que nous formons, ni meilleur, ni moins bon qu’un autre, s’est toujours considéré, envers et contre tous, comme libre et distinct et s’est tant bien que mal accommodé des quelques pouvoirs et droits qu’on n’est pas encore parvenu à lui enlever. Je demeure toujours cependant animé par une volonté qui dépasse de beaucoup celle de la simple survie nationale mais celle de son émancipation et de son rayonnement.
    ‘’.. et voulez-vous pas m’achaler avec vos mesures l’anglaise’’
    -  Claude Gauthier
    Avant ce peut-être trop long préambule, quoique peut-être justifié par ce jour de fête nationale je voulais donc trouver ce symbole identitaire et regroupant pour les francophones d’Amérique et je tiens aussi ici à m’excuser auprès des Acadiens et autres francophones d’Amérique de n’avoir pas compris plus tôt l’héroïque combat que vous menez depuis si longtemps pour votre survivance. Même si on nous a longtemps occulté notre histoire commune, l’ignorance ne pourra jamais constituer qu’une explication, jamais une excuse. En tout cas, plus jamais.
    Soit 18 millions de francophones en Amérique que je considère comme des frères, s’ils ne veulent pas se dire concitoyens, mais historiquement divisés par les politiques impériales, essentiellement britanniques, et subdivisions territoriales ’’pour mieux régner’’ sur ce peuple ’’sans histoire’’.
    18 millions avec parfois une ’’Parlure’’ taouée des aléas de l’histoire, burinée par l’isolement mais qui transporte des couleurs et des parfums dont les locuteurs devraient être fiers et qui évoque une sensibilité historique tellement intelligible quand on en écoute la musique, la phonie, et les percutances. Une locution témoin de nos espérances et de nos exiles, marquée de nos alliances et amitiés amérindiennes. Un vocabulaire teinté de celui de ceux qui nous ont parfois hébergés et protégés et de ceux qui fuyant le despotisme, la persécution ou l’esclavage se sont réfugiés parmi nous. Une vieille langue modulée par les vagues de l’exile, les vents de guerre et les ’’arrangements’’ entre monarques ou puissants.
    Alors me reviens en mémoire les paroles d’un vieil historien dont je suis un fier petit neveu : Jean Bruchési qui vers 1948-49 aurait répondu lors d’une rencontre à l’Académie française à quelques critiques référent à un français peut-être moins pur, parlé au Canada, ‘’ C’est peut-être vrai, mais c’est que chez nous, cela fait 200 ans que nous parlons la langue de la résistance’’ À l’époque ça devait avoir une certaine résonance en France. Maintenant ?
    Sur ce, mes amis Français, vous me permettrez peut-être ce commentaire sentis et emplis d’espérance : De grâce, arrêtez d’abâtardiser notre langue d’anglicismes ridicules et s.v.p. exigez son usage lors des rencontres internationales, sportives, politiques ou économiques. L’Angleterre ne fait même plus partie de l’U.E. ! Alors, trêve de parenthèse. Devoir de mémoire oui, mais surtout devoir de promotion, de regroupement, de valorisation, de développement, de réseautage culturel, intellectuel, touristique et de partage. Pour une francophonie vivante, vibrante, et rayonnante, vive l’héritage de Frontenac, Champlain, Iberville, Lévesque et De Gaulle.
    Aujourd’hui, c’est la fête national Québécoise inspirée probablement de la vieille fête celtique du solstice. Alors je vous remercie de m’avoir lu et ainsi peut-être permis d’espérer que quelqu’un, quelque part, aie trouvé pertinente cette missive, cette bouteille à la mer, permis d’imaginer que quelqu’un peut-être en Louisiane, en regardant couler doucement le Mississipi, en Acadie le regard fixé vers le large, au Manitoba, aux abords de la statue de Louis Riel ou dans le Maine à relire Jack Kirouac dans sa version originale française, s’est senti moins seul avec ce sentiment d’appartenance et dans sa volonté de survivance.

    François Brault
    Saint-Hippolyte, Québec
    24-06-2022

  • De : Marie-Christine Chaillou <agcfjmg@orange.fr>, à Charente-Maritime (France), le : 06/01/2022

    Bonjour et Bonne Année

    Une petite erreur dans votre texte dans "La grande aventure des Acadiens"

    "Isaac de Razilly, seigneur poitevin de Loudun"

    Isaac de Razilly Tourangeau n’a jamais été seigneur de Loudun, militaire sur l’Ile de Ré puis Commandeur de l’Ile Bouchard en Touraine.
    En 1632 ce dernier est parti d’Auray en Bretagne avec 3 capucins et 300 hommes d’elite et il n’a jamais été écrit qu’il y avait des paysans loudunais du voyage...
    Tout ceci est inventé mais parait tout de même dans des livres ou articles et fausse l’Histoire car il n’y a pas à ce jour de traces en loudunais de migrants vers l’Acadie !!
    Dans la Gazette de France Renaudot cite ce départ mais n’a jamais écrit qu’il y avait des loudunais du voyage !

    Source de Moncton : page 2 (départ en 1632 )

    https://www.umoncton.ca/umcm-ceaac/...
    https://www.acadienouvelle.com/chro...

    https://www.acadienouvelle.com/mon-...

    Cordialement-

  • De : Ysée Gaudel-Eisel <yseevictoria@gmail.com>, à Hollywood Florida (USA), le : 16/11/2021

    Mes recherches sur l’histoire française en Floride m’ont permis de découvrir votre site ce qui m’a je dois l’avouer enthousiasmée.

  • De : Luc Charles Lafortune <luc036@hotmail.com>, à Montreal (Canada), le : 06/06/2021

    Bonjour,
    merci pour tout le travail de mémoire que vous faites, c’est extraordinaire !
    Un petit mot sur la transcription écrite du discours de Franklin Roosevelt en français sur Radio-Londres le 8 novembre 1942 : Vous écrivez : "...Je connais vos femmes, vos villages, vos villes, je connais vos sols, vos professeurs, vos ouvriers..."
    Je pense qu’il disait plutôt : " ... Je connais vos fermes.."
    Autrement ça aurait été mal reçu...
    Merci

    • Réponse de Nicolas Prévost :

      Bonjour Luc Charles. Merci de votre message. En effet, vous avez tout à fait raison et c’est donc corrigé ! Bien cordialement. Nicolas Prévost, président de l’association.

  • De : Vénus Forbin <conformat@orange.fr>, à Abymes (Guadeloupe France), le : 24/02/2021

    Bonjour ou bonsoir peut-être,

    Différentes recherches m’ont conduite jusqu’à votre association qui présente pour moi un réel intérêt.

    J’aimerais, si possible, connaître les modalités pour en faire partie.

    Cordialement.

  • De : katell mouazan <cdbubry@gmail.com>, à bubry (france), le : 16/02/2021

    bonjour,
    En cherchant des documents reliant l’hôtel de Frontenac à Théodore Botrel j’ai trouvé votre site fort intéressant et qui pourtant occulte la venue de ce chanteur breton et français en avril ,mai et juin 1903 et dont la tournée, une des premières d’une vedette du show bizz français en Amérique , ramena 15000 francs de la part des canadiens français pour compléter le coût de l’érection de la statue de Jacques Cartier sur le bastion de la Hollande à Saint Malo - si vous le désirez je peux vous fournir le reportage de Louis Tiercelin concernant les fêtes de son inauguration les 23 et 24 juillet 1905 avec les illustrations provenant de cartes postales anciennes - bien cordialement kénavo

  • De : vincent lafaye <vilafaye@laposte.net>, à FRONTENAC (FRANCE), le : 03/11/2020

    bonjour,
    site très intéressant, pour un élu de la commune de Frontenac en gironde qui cherche a en savoir plus sur le nom de Frontenac en Amérique.
    merci. Continuez

  • De : xavier denys de bonnaventure <denysdebonnaventure.xavier@bbox.fr>, à DINAN (France), le : 08/09/2020

    Je suis heureux d’avoir découvert vos coordonnéées par internet et je descends comme de nombreux cousins de Simon Denys de la Trinité 1599-1678 qui a été membre du conseil souverain et a une nombreuse descendance en France mais aussi et surtout en Amérique du Nord

  • De : pierre paquin <mppinternational@videotron.ca>, à laval (canada), le : 17/08/2020

    Je désire faire partie de votre Association en vous souhaitant bonne recherche

  • De : Georges SAEZ <georgessaez34@gmail.com>, à CAZOULS LES BEZIERS (france), le : 07/08/2020

    le français est représentatif de nôtre pays et donc très important il faut qu’il soit préservé partout ou il peut l’être

  • De : Monique Massé <l.art.est.source@gmail.com>, à Asbestos (Canada), le : 10/02/2020

    Bonjour ! Je suis agréablement surprise de connaître un groupe de Français qui s’intéresse au fait français en Amérique. Bien sur que les francophones du Canada sont en perte de vitesse, et même au Québec ! On aura toujours besoin de se tenir les coudes ! Si une chronique de quelques minutes vous intéresse, www.radiophile.ca , Une radio différente sur internet, propulsée par un citoyen québecois amoureux de la chanson francophone. La programmation est en pause jusqu’au printemps, pour cause de déménagement, mais on entend l’émission Méli-Mélo sur la chanson francophone.

  • De : GABRIEL GALICE <gabriel.galice@gipri.ch>, à STETTLEN (Suisse), le : 05/02/2020

    Bonjour,

    Non, ce n’est pas un combat d’arrière-garde ! Une langue porte des fragments d’une vision du monde. Citoyen français vivant depuis trois ans dans la partie germanophone de la Suisse, je mesure à la fois le déclin courant de la langue française et l’utilité de la résistance opiniâtre. J’observe que les meilleurs défenseurs de la francophonie ne sont pas les Français. Certains jeunes Africains sont exemplaires, formés à l’ancienne.
    Bon courage ! Haut les cœurs !

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