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Signez notre livre d’or !

vendredi 28 juin 2013, par Daniel Déchelotte, Hendy Abdoul-Déchelotte, Nicolas Prévost

Vous pouvez déposer un mot dans le livre d’or de l’association Frontenac-Amériques ! Au plaisir de vous lire bientôt !

(mesure anti-robot)


  • De : Yves hirrien <yves.hirrien@west.bzh>, à Plourin les Morlaix (France ), le : 04/02/2020

    Bonjour,

    Je suis parfaitement en accord avec le fait que la langue française doit désormais être défendue. Les langues sont celles des peuples et les élites désertent toujours les langues de leur pays au bénéfice des peuples dominants. Il en fut ainsi du Breton abandonné pour le Francais, il en est aujourd’hui de même avec le.francais que les gens qui aspirent au pouvoir s’empressent d’oublier au profit de l’anglais. Il en fut de même durant la dernière guerre mondiale pour l’usage de allemand. On oe peut pas vraiment parler d’élite mais tout bonnement de groupe d’influence. Je suis d’accord pour contribuer à vos travaux si nécessaire. Bien cordialement Yves Hirrien

  • De : david bouhebbal <davidulm1957@gmail.com>, à beaulon (france), le : 13/06/2019

    passionné par l’histoire des acadiens je continuerais à porter cette mémoire en moi et faire en sorte que cela ne s’éteigne jamais.

  • De : Kessy MONDESIR <mondesirkessy.87@gmail.com>, à Lamentin (MARTINIQUE), le : 09/05/2019

    Bonjour,

    Je souhaitais vous dire que j’apprécie votre site, pour sa documentation et son impartialité historique et sociétale.

    Merci de mettre aussi ma culture ( Antilles française) à l’honneur dans vos rubriques (auteurs, concepts,...).

    Alors Force et Robustesse, comme j’aime dire et "Tchimbé rèd’ pa moli" en créole !

    Kessy l’Antillaise.

  • De : Hugo Debiève <hugo.debhmg@gmail.com>, à Marly le roi (France), le : 15/04/2019

    Bonjour.
    Je suis content de voir enfin une association qui rappelle au monde que normalement la langue française est la langue internationale.
    Merci pour tout .

  • De : Christian Hubiche <chrishubiche@icloud.com>, à Chalons en Champagne (France), le : 04/12/2018

    Bonjour amis et chers compatriotes,
    Je n’ai jamais visité vos îles mais j’ai un couple d’amis qui a vécu à la gendarmerie de Saint Pierre (Didier Loppin).
    Je ne connaissais pas l’épisode de la France Libre... Nous aurions encore bien besoin du Grand Charles... En métropole, il va falloir que ça bouge... J’espère que vous n’avez pas besoin de prendre le gilet jaune même si les retraites sont bloquées depuis 6 ans et demi comme ici. Au moins, je crois savoir que le carburant est plus abordable !

  • De : Michel Quéré <me.quere@gmail.com>, à Paris (France), le : 30/06/2018

    Bonjour,

    Le texte de l’épitaphe d’Henri de Buade que vous indiquez est partiellement erroné. Je vous communique la véritable lecture, faite par Marc du Pouget, ancien directeur des Archives Départementales de l’Indre, d’après photo de l’épitaphe originale :

    « Celuy qui gist dans ce tombeau funeste
    Pour le service de son roy combattant
    Fut d’un coup de mousquet blessé si asprement
    Que dans trois jours après la mor fut de son reste

    Son nom c’estoit Henry son surnom de Buade
    La ville ou il fust tué c’estoit St Anthonin
    Loys tresiesme regnait qui d’un brave courage
    Pressoit les calvinistes a luy tendre la main

    Il estoit son vivant premier maistre d’hostel
    Maistre de ca(m)p aussy des troupes de navarre
    Et a cest heure il dort auprès de l’Eternel
    Etant heureux, exempt de l’humain tintamarre ».

    Cette épitaphe a été publiée pour la première fois dans sa forme exacte dans mon livre "Les églises et chapelles de Palluau-sur-Indre" en 2017.

    Je reste à votre disposition
    Cordialement
    M. Quéré

  • De : Pierre Clusel <pierreclusel@yahoo.fr>, à Laugnac 47360 (France), le : 26/12/2017

    les Canadiens francophones ont sauvés mon père, en STO sur Juno beach. Mon pére devait faire des casemates pour les allemands (opération Tod).
    Suivant son récit les troupes Canadiennes qui ont libérées Caen ont fini à la dague et au couteau à cause d’un manque de munitions.

  • De : Gilbert Lévesque <gilbertlevesque1479@outlook.com>, à Montréal, (QUÉBEC, Canada), le : 03/10/2017

    Monsieur Prévost,

    À dessein, je vous reviens, en souhaitant ardemment que l’on vous transmettre le motif de ma requête "francophile", savoir : sait-on ce qu’il est advenu du cœur de l’ex-gouverneur de Québec, le Sieur de Frontenac, après avoir été éconduit par sa légitime épouse, à la Cour de France, de la manière suivante : "QU’AI-JE À FAIRE DE CE COEUR QUI NE M’A PAS APPARTENU DE SON VIVANT. RETOURNEZ-LE EN CANADA !

    Or, l’offrande dudit cœur, déposé en un "reliquaire" fut l’initiative des Pères Récollets, qui disposaient d’ailleurs d’une maison, à Paris. Pourrait-on voir de ce coté - il semble qu’il y ait eu des fouilles, il y a peu - si le cœur du Gouverneur Frontenac ne s’y trouve pas, par hasard. Bien sincèrement vôtre et reconnaissant,

    SEMPER FIDELIS,

    Gilbert Lévesque

  • De : gilbert lévesque <gilbertlevesque1479@outlook.com>, à Montréal (QUÉBEC, Ca), le : 29/09/2017

    Monsieur Prévost,

    Sensible aux éléments cocasses qui font aussi partie de notre histoire, je suis donc en droit de me poses des questions sur ce qu’ est devenu le cœur du Sieur de Buade, Comte de Frontenac.

    En effet, quelques érudits pourraient peut-être m’éclairer en la matière ; car, au moment de sa mort, les Pères Récollets "isolèrent" le cœur du gouverneur défunt - une sorte d’urne, de reliquaire, avant l’heure - aux fins précises de remettre celui-ci aux mains de son épouse, demeurée à la Cour. Et l’on connaît la réplique cinglante de cette dernière, lorsque ce cœur lui fut proposé, pour lui être restitué. Alors, elle échappa ceci, qui mérite d’être retenu - voire diffusé : "Qu’ai-je à faire de ce cœur qui ne m’a pas appartenu de son vivant ? Alors, retournez-le en Canada".

    Or, la question fondamentale à retenir est bel et bien la suivante : qu’est-il advenu de cœur ? Est-il déposé à Québec, à l’Hôpital Général ? Ou ailleurs ? C’est la question que j’aurais dû poser au Conservateur du Château que j’ai croisé, un jour, sur les quais de la gare de Chaumont. Il était là pour régler une succession d’une tante défunte. Je lui avais offert un exemplaire de l’ouvrage traitant du lieu d’inhumation, à Paris, du Sieur de Maisonneuve, gouverneur-fondateur désigné de la ville de Montréal, qu’il avait vivement apprécié. Vifs remerciements anticipés.

  • De : Gilbert Lévesque <gilbertlevesque1479@outlook.com>, à Montréal (Québec, Canada), le : 27/09/2017

    Montréal, ce 27 septembre 2017.

    Correspondant attitré de l’écrivain et conférencier Alain Ripaux, il m’a plu de favoriser sa venue, AU PAYS DE QUÉBEC, comme l’écrivait si justement Louis Hémon, en 1911. Ensemble, nous avons célébré la mémoire d’une déclaration substantielle qui fit le tour du monde, en 1967 : VIVE LE QUÉBEC LIBRE. C’était il y a cinquante ans, c’était hier encore où, par la force des choses, il me plaît de signaler - et de partager avec vous tous - que, "Sous le lys, je vis le jour".

    Bon retour à Alain Ripaux, au PAYS DE FRANCE où, chaque fois, je m’amène là-bas, avec le titre bien arrêté de PÈLERIN D’UN MONDE MEILLEUR.

    G. Lévesque
    Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres, Fr

  • De : Thierry Sinda <thierrysinda@yahoo.fr>, à Paris 75013 (France), le : 23/07/2017

    Monsieur Le Président Nicolas Prévost,
    Association Frontenac Amériques

    Je vous sais gré pour votre utile et intéressante association faisant triompher la francophonie sur le continent américain.

    Je suis poète et universitaire et j’ aurais souhaité avoir le mail de votre association pour vous faire part du recueil " Chant du black Paname" du Martiniquais Henri Moucle qui ouvre ma collection francophone "Poètes des Afriques et d’ Ailleurs" aux éditions Delatour France. http://www.editions-delatour.com/fr...

  • De : Odile Sohier <odile.sohier66@orange.fr>, à Ille-sur-Têt (France), le : 22/04/2017

    Merci pour la mise en ligne de l’acte de baptême de Louis XIV, figurant dans l’article de la chapelle royale de Saint-Louis de Saint-Germain-en-Laye... ; cet acte a permis une rectification sur Wikipédia....
    Cordialement,

    Odile

  • De : Georges ROULLIER <georges.roullier@sfr.fr>, à 69800 Saint Priest (France), le : 08/03/2017

    Monsieur Nicolas Prévost,
    Président de l’ Association Frontenac Amériques
    Cher Monsieur,
    Je viens vous remercier pour votre aide concernant ma recherche sur mes origines familiales, en effet je recherchais une trace de vie de Louis Alexandre ROULLIER Notaire Royal à Basse Terre, Alexandre Dudouble serait certainement un sobriquet,, mon ancêtre n’ ayant pas le Droit d’ épouser et donner son nom à sa Compagne esclave de couleur ainsi qu’ à ses enfants qu’ il eut d’ elle . C’ est une histoire d’ Amour dont j’ ai le Droit d’ être fier . Je vais faire rechercher dans les archives militaires pour complèter mes recherches . Par ailleurs Daniel ROULLIER ( TIMAC Groupe ROULLIER ) est selon lui mais en 1976 de ma base familiale de Recherche
    Remerciements et profond respect
    Georges Roullier ...

    • Réponse de Nicolas Prévost :

      Bonjour M. Roullier. Je vous en prie, c’est avec plaisir. C’est vraiment passionnant tout cela, et n’hésitez pas à me donner des nouvelles de vos recherches ! Très cordialement à vous. Nicolas Prévost, président

  • De : Georges ROULLIER <georges.roullier@sfr.fr>, à Saint Priest 69800 (France métropolitaine), le : 21/11/2016

    J ’ai habité quelques mois en Guyane après mon divorce et suis rentré en Métropolole mes enfants me manquaient . J’ aime nos département OM les gens qui les Composent . Je suis à la recherche d’ un ancêtre officier de couleur en 1792-1802 Alexandre Roullier son Père Louis Alexandre Notaire en Guadeloupe ou Haiti , le fils connut les événement de l’ Abolition et le Rétablissement de l’ Esclavage .Merci de m’ aider quelque soit le côté politique ou se trouvait mon ancêtre . Liberté Egalité Fraternité + Amitiés et Solidarité
    Georges

    • Réponse de Nicolas Prévost :

      Cher Monsieur Roullier,
      Concernant votre ancêtre, j’ai peut-être une première piste. Dans le registre paroissial de l’église Saint-François de Basse-Terre (Guadeloupe), on trouve en date du 21 février 1733 le baptême d’Alexandre DUDOUBLE. Et il se trouve que son parrain est "Louis Alexandre ROULLIER, notaire royal en cette ville". Sûrement votre ancêtre ! C’est donc dans cette direction qu’il faut chercher.
      Avec mes souhaits de bonne et heureuse année 2017. Bien cordialement.
      Nicolas Prévost
      Président de l’Association Frontenac-Amériques

  • De : FREDDY KIONSO <Kionsokiaku@yahoo.fr>, à MATADI (REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO), le : 18/10/2016

    Bonjour,

    c’est naviguant sur le net que j’ai eu connaissance de votre site l’histoire du fondateur de la ville de Chicago m’a beaucoup surpris vous avez ajouté un plus dans mes connaissances je vous en remercie bonne continuité

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